La quatrième génération du Grand Bleu d'Algérie.
François d' Ampuriabrava
L'EXIL 1995
L'exil,
je le dois à la politique courageuse de ma nation.
Le péril était grand en l'an 93 et le Quai 
D'Orsay, devant les jérémiades de ses 
fonctionnaires, décida de rapatrier ces 
Français prilivégiés et ferma  Consulats 
et écoles françaises aux dépends des 
autres Français;
je dirais Français de seconde zône, (n'est-ce pas Monsieur le Consul Général de l'époque 
à Oran, devenu maintenant Ambassadeur pour ces hauts faits, qui ne se priva pas de m'insulter en me disant cela 
et d'autres choses de plus viles encore, de vive voix, fort de son pouvoir et de son immunité), Français de l' Etranger, comme ils disent,
 piliers de le présence française comme ils disent aussi, à qui on conseilla de se démerder seuls
 et ceux qui avaient des enfants en scolarité, tant pis pour les enfants.
C'est ainsi que ma fille fit son dernier cursus au Lycée Pasteur dans une première moitié de 
l'année scolaire 93/94? ET OUI ILS N'ONT MËME PAS EU LE COURAGE DE 
TERMINER L'ANNEE, et comme il nous était impossible de quitter l'Algérie du jour au 
lendemain du fait de mes affaires, ma fille n'alla pas à l'école en 1995 et perdit une année 
pour continuer avec un handicap à Montpellier oû nous sommes rentrés par nos propres 
moyens en abandonnant mon entreprise à la convoitise de mes associés qui n'en demandèrent pas tant 
(Eh! oui, cinq milliards de Dinars) pour echouer dans la précarité du RMI, et encore merci! 
et je ne dis pas ma retraite de petit vieux d'office maintenant, (je n'ai pas assez cotisé en France, ils ne se privèrent pas de me le 
rappeler méchamment ces fonctionnaires planqués au moment du bilan de ma carrière qui ne fut pas hexagonale) 
mais je me suiciderai pas pour autant, il y a ma fille comme dernier challenge! L'argent n'est pas tout. Vive la France!
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